le 8 novembre 2024
conférence pour le vernissage
“ART ET DROIT: LE RYTME DE L’HUMANITÉ”
la Fondazione Donà dalle Rose et la Fondation Léopold Sédar Senghor
du 8 Novembre au 6 Decembre 2024
lundi /vendredi
9,30/16,30
conférence et vernissage de l'exposition du titre
“ART ET DROIT: LE RYTME DE L’HUMANITÉ”
Art et Droit : le rythme de l’humanité
Le rythme de l’humanité au fil des millénaires de la Charte du Mandé à la Déclaration des Droits de l’Homme. L’exposition présentée par la Fondation Donà dalle Rose avec deux commissaires d’exception, Mr Massimo Scaringella et Mr Sitor Senghor, a été imaginée par la Présidente dans un lieu hautement symbolique qui porte le nom du premier Président du Sénégal, le grand poète et philosophe Léopold Sédar Senghor.
La Fondation Donà dalle Rose soutient la Fondation Léopold Sédar Senghor, et diffuse des trésors de documentation en Italie, notamment au travers de différentes conférences organisées au sein de son palais vénitien. Les principes et la philosophie d’une bonne gouvernance et des droits naturels du respect de la dignité de l’homme sont préservés dans l’ancien Palais des Doges Francesco, Leonardo et Nicolò Donà dalle Rose depuis 600 ans, et à Dakar, depuis 50 ans, dans le berceau de la Fondation Léopold Sédar Senghor.
Le rapport entre le droit et l’art, comme moyen de communication et d’expression des préceptes et des bonnes pratiques, de la musique, de la peinture, de la sculpture, de l’écriture, sont le sujet de cette exposition qui remonte le temps à la recherche de la véritable histoire de l’Afrique, bien avant la déclaration des droits de l’homme de l’illuminisme français. A travers les œuvres des artistes choisis pour cette exposition, les visiteurs seront rappelés à la genèse du droit et à son lien étroit avec l’art et sa capacité à pénétrer directement dans l’âme et les traditions d’un peuple et de sa culture, depuis l’ancienne Charte du Mandé, des siècles avant tous les chartes de l’Europe démocratique moderne, jusqu’à la Charte européenne des droits de l’homme.
La loi naturelle habite le cœur des hommes de toute origine et nation et l’art sait lier cette vision éthique et ce respect de la dignité humaine à la simplicité des œuvres et des outils choisis par les artistes, notamment les sculpteurs, les peintres, les musiciens, les photographes, les céramistes. Sont présents dans cette exposition des artistes Sénégalais, Camerounais, Maliens, Mauritaniens, Italiens, Anglais, Finlandais, Chypriotes, Serbes, et Japonais. Le titre et le choix du lieu de l’exposition n’ont pas été choisis au hasard. Les commissaires ont fait appel à des artistes de multiples nationalités pour travailler des œuvres qui constituent une analyse approfondie des théories philosophiques de Léopold Sédar Senghor, philosophe, poète et homme d’État, qui mettent en lumière l’histoire de l’Afrique, précoloniale, lorsque les empires et ses peuples, au Mali, au Soudan occidental, l’actuel Sénégal, au Cameroun, au Congo, en Mauritanie, en Namibie, jusqu’en Somalie, en Érythrée, au Mozambique et ailleurs, ont vécu selon les règles du droit coutumier qui partaient précisément du respect de la dignité de l’homme.
Plusieurs siècles plus tard, ces principes furent également validés en Europe et représentés démocratiquement comme nouveaux dans une vision philosophique rationaliste des lumières françaises.
Ces principes gouvernent un peuple fier et glorieux depuis des millénaires. Senghor, premier président du Sénégal postcolonial, a su comprendre la beauté et la particularité du peuple africain, en introduisant le concept de négritude et de valorisation du rythme comme partie essentielle de la pensée de l’homme. Sa philosophie et ses poèmes ont révélé l’histoire de l’Afrique et de l’humanité qui la rappresente.
Arte e Diritto: il ritmo dell’umanità
Il ritmo dell’umanità nel corso dei millenni dalla Carta Mandé alla Dichiarazione dei Diritti dell’Uomo. La mostra presentata dalla Fondazione Donà dalle Rose con due curatori d’eccezione, Massimo Scaringella e Sitor Senghor, è stata immaginata dalla Presidente Chiara Modìca Donà dalle Rose, in un luogo altamente simbolico che porta il nome del primo Presidente del Senegal, il grande poeta e filosofo Léopold Sédar Senghor.La Fondazione Donà bande Rose sostiene la Fondazione Léopold Sédar Senghor e diffonde tesori di documentazione in Italia, in particolare attraverso diversi convegni organizzati nel suo palazzo veneziano. I principi e la filosofia del buon governo e dei diritti naturali del rispetto della dignità umana sono custoditi nell’antico Palazzo Ducale di Francesco, Leonardo e Nicolò Donà della Rose da 600 anni, e a Dakar, da 50 anni, nella culla del Léopold Sédar Fondazione Senghor.Il rapporto tra diritto e arte, come mezzo di comunicazione ed espressione di precetti e buone pratiche, musica, pittura, scultura, scrittura, sono oggetto di questa mostra che torna indietro nel tempo alla ricerca della vera storia dell’Africa, ben prima dichiarazione dei diritti umani dell’illuminismo francese. Attraverso le opere degli artisti scelti per questa mostra, i visitatori verranno ricordati della genesi del diritto e del suo stretto legame con l’arte e della sua capacità di penetrare direttamente nell’animo e nelle tradizioni di un popolo e della sua cultura, a partire dall’antica Carta dell’Arte Mandé, secoli prima di tutte le carte dell’Europa democratica moderna, alla Carta europea dei diritti dell’uomo.La legge naturale abita il cuore degli uomini di ogni origine e nazione e l’arte sa collegare questa visione etica e questo rispetto della dignità umana alla semplicità delle opere e degli strumenti scelti dagli artisti, in particolare scultori, pittori, musicisti, fotografi, ceramisti. In questa mostra sono presenti artisti senegalesi, camerunesi, maliani, mauritani, italiani, inglesi, finlandesi, ciprioti, serbi e giapponesi. Il titolo e la scelta del luogo della mostra non sono stati scelti a caso. I curatori hanno invitato artisti di molteplici nazionalità a lavorare su opere che costituiscano un’analisi approfondita delle teorie filosofiche di Léopold Sédar Senghor, filosofo, poeta e statista, che fanno luce sulla storia dell’Africa precoloniale, quando gli imperi e le sue popolazioni, nel Mali, nel Sudan occidentale, l’attuale Senegal, nel Camerun, nel Congo, in Mauritania, in Namibia, fino alla Somalia, in Eritrea, in Mozambico e altrove, vissuta secondo le regole del diritto consuetudinario che si basavano proprio sul rispetto della dignità dell’uomo.Diversi secoli dopo, questi principi furono validati anche in Europa e democraticamente rappresentati come nuovi nella visione filosofica razionalista dell’Illuminismo francese.Questi principi governano da millenni un popolo fiero e glorioso. Senghor, primo presidente del Senegal postcoloniale, ha saputo comprendere la bellezza e la particolarità del popolo africano, introducendo il concetto di negritudine e la valorizzazione del ritmo come parte essenziale del pensiero umano. La sua filosofia e le sue poesie hanno rivelato la storia antichissima dell’Africa e della sua umanità.
COMMISSAIRE
MASSIMO SCARINGELLA
Massimo Scaringella est conservateur indépendant d’art contemporain et organisateur d’événements culturels. Pendant plus de trente ans d’activité en Italie et à l’étranger, il a présenté de nombreux artistes italiens et étrangers, dont beaucoup appartiennent aux nouvelles générations mais déjà appréciés aujourd’hui sur la scène internationale. Il est né à Rome en 1953, vit entre Rome et Buenos Aires. Il a organisé et collaboré à plus de 250 expositions d’art contemporain dans 40 pays, en contact direct avec les réalités locales de différentes cultures et leur panorama contemporain, créant un pont d’échange. entre l’art italien et le reste du monde, en particulier avec l’Amérique latine, où il a été directeur artistique de la 4ème édition de la Biennale de la Fin du Monde 2014/2015.Directeur et fondateur d’ars maxjer contemporanei – projets culturels d’avant-garde, il a été commissaire invité à la Biennale internationale de Curitiba de 2017 à 2019, et en 2020 il a été nommé directeur artistique de la Galerie Kou à Rome et coordinateur de la Rome Art Week. , ainsi que la direction artistique d’une nouvelle édition du “E-zine Contemporary Art Magazine”, le premier périodique en ligne en Italie. En 2017 et 2019, il a été nommé commissaire du Pavillon national de Côte d’Ivoire aux 57e et 58e Biennales internationales d’art de Venise, ainsi qu’en 2021 comme co- commissaire avec Alessandro Romanini à la 59e Biennale en 2022. Texte de la contribution et coordination du Pavillon du Cameroun 2024 et commissaire de la Molaa de Los Angeles à la Fondation Belivalacqua à Venise 2023.
Massimo Scaringella is an independent conservator of contemporary art and organizer of contemporary cultures. Pendant more than thirty years of activity in Italy and abroad, the presence of numerous Italian and foreign artists, who do not belong to the new generations but were already appreciated on the international stage. He was not in Rome in 1953 , between Rome and Buenos Aires. The organization has organized and collaborated on more than 250 contemporary art exhibitions in 40 countries, in direct contact with local realities of different cultures and the contemporary panorama, creating a bridge between the Italian art and the rest of the world, in particular with Latin America. , who was the artistic director of the 4th edition of the Biennale de la Fin du Monde 2014/2015. Director and founder of contemporary art – avant-garde cultural projects, he was invited to participate in the Curitiba International Biennial from 2017 to 2019, and in 2020 he was appointed artistic director of the Galerie Kou in Rome and coordinator of the Rome Art Week. , as well as the artistic direction of a new edition of “E-zine Contemporary Art Magazine”, the first periodical online in Italy. In 2017 and 2019, he was appointed commissioner of the National Pavilion of Côte d’Ivoire at the 57th and 58th Venice International Art Biennials, also in 2021 as co-commissioner with Alessandro Romanini at the 59th Biennale in 2022. Contribution text and coordination of the Pavilion of Cameroon 2024 and curator of Molaa de Los Angeles at the Belivalacqua Foundation in Venice 2023.
“Bomarzo 2007” (Produttore Esecutivo), Regia Jerry Brignone. – Palazzo Orsini (Dicembre), “Infinito Vicino” ; “Simbolismi Della Visione – Beyond The Clouds”; Roma – Villa Altieri (Ottobre); Kenneth Blom “Fuga” Roma – Kou Gallery ; Giovanni De Angelis “Water Drops”, Blumenau (Brasile); Armand Bous, Aron Demetz, Brice Esso “Animula, Vagula Blandula”; Pietrasanta – The Project Space ; Coletivo Duas Marias “Forjada Pelo Tempo”; Johnson City (Usa) – Smith Gallery ; Lilyana Karadyova “Metamorfosi Dell’orizzonte”, Roma – Kou Gallery; Coletivo Duas Marias “Forjada Pelo Tempo”; Curitiba (Brasile) – Museo Oscar Niemeyer ; Antonio Riello “Walkable Art” Roma – Kou Gallery , Joaquin Roca Rey “Dar Forma A La Materia, El Eclettismo De Joaquìn Roca Rey”; Lima (Peru) – Icpna Espacio Germán Krüger Espantoso; Nicola Rotiroti “Tratto Da Una Storia Vera”; Roma – Kou Gallery ; Alessandro Zannier “Iper Oggetti”; Roma – Kou Gallery (Novembre – Dicembre); Salvatore Pulvirenti “Sotto Il Vulcano” Roma – Kou Gallery “Além Da Ética (Beyond Ethics)” Blumenau (Brasile) – Museu Arte Blumenau Colet Ivo Duasmarias “Forjada Pelo Tempo”; Maringa (Brasile) – Museu Helenton Borba Cortes; Coletivo Duasmarias “Forjada Pelo Tempo”; Londrina (Brasile) – Universidade Estadual De Londrina ; Futurismo – Il Dinamismo Estetico , Museo Civico G. Bellini
maxscari@yahoo.it
COMMISSAIRE
SITOR JACQUES BIRAGO SENGHOR
Collectionneur de longue date tout au long d’une longue carrière internationale de banquier d’investissement puis d’architecte d’intérieur et galeriste, Sitor Senghor s’est progressivement engagé à plein temps dans l’art. Commissaire d’exposition indépendant, conseiller en gestion de patrimoine culturel et galeriste, Sitor Senghor met aujourd’hui en avant ses « coups de cœur » en organisant des évènements ad-hoc et montrant très clairement comment l’œuvre d’un artiste peut être bonifiée lorsque présentée dans l’environnement adéquat. Il a la passion du détail et met tout en œuvre pour que l’événement soit inoubliable. Son activité relève davantage d’une passerelle entre les artistes et les collectionneurs permettant de partager culture et beauté, d’où qu’elles viennent et quelles qu’en soient les formes, pour que chaque partie y trouve son compte.. Une autre mission qui lui tient particulièrement à cœur est une tradition familiale de promotion de l’art africain avec la certitude que le marché saura réagir avec ferveur à l’arrivée d’une grande variété de talents contemporains à découvrir.
Long time collector throughout his countless years in international investment banking, interior decorator and gallerist thereafter, Senghor consistently followed his goal getting more and more involved in art. Advisor, independent curator and gallerist, Sitor Senghor nurtures his “coups de coeur” creating dedicated events clearly showing how every artist’s work can be truly enhanced when shown in the right premises. He does care about every detail of a show and thrives for the event to be one to be remembered. Not a traditional gallerist, rather a bridge between artists and collectors to help sharing beauty and culture, wherever it comes from and it whatever form it takes, for the mutual benefit of all parties. Another commitment Senghor pursues with dedication is a family tradition for supporting African Art with a strong belief that the market will respond firmly to such a variety of talented yet less known contemporary masters.
2024 : Lee Miller, Saint-Malo Assiégée (Saint-Malo) / Apartment Venice, Biennale Di Venezia (Venise)
2023 : Ernest Dükü, Boson Man (Paris Et Biennale De Montpellier) / Kimiko Yoshida, L’éloge De L’ombre (Paris) / Jesse A. Fernández, Vanitas (Paris) / Ernest Dükü, Invisible Ancestors (Munich)
2022 : Antoni Clavé, L’esprit Du Guerrier, Palazzo Franchetti (Venise) / Nebojša Bežanić, Le Rire De Sisyphe (Paris) / Jan Saudek, La Vérité Se Situe Quelque Part Au Milieu (Paris) / Jesse A. Fernández, Un Air De Liberté
2021 : Agustín Cárdenas, Solano Cárdenas, Jesse A. Fernández, Joaquín Ferrer, Luis Israel González Sosa, La Liberté Du Trait (Paris) / Serguey, Le Tango Du Dessinateur (Paris)
Foires Et Salons : 1:54 Contemporary African Art Fair (London, New York & Marrakech), Salon De Dessin (Paris), Fine Arts (Paris), Ddessin Art Fair (Paris), Investec Cape Town Art Fair (Cape Town), London Art Fair (London)
sitor@sitorsenghor.com / www.sitorsenghor.com
ARTIST
ANGELO ACCARDI
Angelo Accardi est né dans une petite ville du sud de l’Italie. Il a grandi inspiré par l’art italien traditionnel ainsi que par les interprétations modernes de sujets classiques. Sachant toujours qu’il voulait devenir artiste, il part étudier les beaux-arts à l’Académie des Beaux-Arts de Naples. Fondée en 1752 par le roi Charles II, c’est l’une des écoles les plus anciennes et les plus prestigieuses du pays. Peu de temps après ses études formelles, Accardi a créé son studio personnel au début des années 90. Cela lui permet de continuer à étudier la peinture et la sculpture plus près de sa maison d’enfance. La création d’un studio a permis à Accardi de se lancer dans un voyage artistique personnel où il continue, à ce jour, à développer certaines des œuvres les plus complexes et énigmatiques de l’art contemporain au monde. Il continue de se concentrer sur l’étude des figures, humaines et animées, et des espaces qu’elles habitent. Accardi intègre des œuvres d’art célèbres et reconnaissables datant de plusieurs siècles. Certains remontent à la sculpture romaine antique et d’autres encore plus récemment à l’art contemporain de cette décennie. Son « clin d’œil » à ces artistes encourage le public à établir des liens entre lui-même et l’œuvre d’art. En plus d’établir des relations entre les personnages de l’art. Ses peintures sont des conversations artistiques qui se développent au fil des siècles. Ils sont ludiques, ironiques, décalés et profondément pertinents. Aujourd’hui, les initiatives artistiques d’Accardi dépassent les frontières et exposent dans de nombreuses galeries prestigieuses à travers le monde. En 2017, l’Eden Fine Art Gallery a signé Accardi comme l’un de ses plus grands talents contemporains. Depuis lors, il a présenté des expositions personnelles exclusives à Londres et à Mykonos, ainsi que des représentations à travers le continent. Aujourd’hui, Accardi vit et travaille toujours en Italie, apportant son humour unique à son expression contemporaine.
Angelo Accardi was born in a small town in the south of Italy. He grew up inspired by traditional Italian art as well as modern interpretations of classical subjects. Always knowing he wanted to be an artist, he went to study fine arts at the Art Academy of Naples. Founded in 1752 by King Charles II it is one of the oldest and most prestigious schools in the country. Shortly after his formal education Accardi went on to set up his personal studio in the early ’90s. This allowed him to continue to study painting and sculpture closer to his childhood home. Setting up studio allowed Accardi to embark on a personal artistic journey where he, to this day, continues to develop some of the world’s most intricate and enigmatic works in contemporary art. He continues to focus on the study of figures, both human and animated, and the spaces that they inhabit. Accardi incorporates famous, recognizable works of art dating back centuries. Some as early as Ancient Roman sculpture and some as recently as contemporary art from this decade. His ‘nod’ to these artists encourages the audience to make connections between themselves and the artwork. As well as build relationships between the characters within the art to one another. His paintings are artistic conversations that expand over the centuries. They are playful, ironic, quirky, and deeply relevant. Today Accardi’s artistic initiatives cross borders, exhibiting in many prestigious galleries worldwide. In 2017 Eden Fine Art Gallery signed Accardi as one of their foremost contemporary talents. Since then he has had exclusive solo exhibitions in London and Mykonos, as well as representation cross-continentally. Today, Accardi still lives and works in Italy, bringing his uniquely humorous eye to his contemporary expression.
www.angeloaccardi.com
EXHIBITION WORK
“Turn me around”, 240x136x7 / 240x115x7 / 250x205x9,5
“Violet”, oil acrylics and inks, 200x200cm
“Wrapped Steel” Total Installation
ARTIST
LUIGI BALLARIN
Est né à Venise et grandit imprégné de la culture vénitienne jusqu’à ses premiers voyages. Venise est une ville qui a eu de nombreux contacts avec l’Orient proche et extrême et la naissance dans ce territoire peut expliquer l’habitude de se nourrir mentalement de décorations et de modèles d’inspiration orientale. L’échange culturel est propre à l’âme de sa terre d’origine, Venise, qui au cours des siècles a accueilli des langues, des coutumes, des contes, des œuvres d’art provenant de mondes différents. L’art de Luigi Ballarin est une union entre l’Orient et l’Occident et synthétise en images iconiques les suggestions des arts mineurs, qui parcouraient les chemins des échanges commerciaux et des voyageurs, et fusionnaient les différentes traditions : les décorations des l’émail des orfèvreries, les broderies des tissus précieux. Ses figures suivent les rythmes bidimensionnels de la peinture byzantine et sont décorées avec une technique originale, caractérisée par des reliefs en relief qui évoquent les mosaïques, les émaux, les décorations des céramiques, les tapis. La couleur et l’émail acrylique sont enrichis d’effets métalliques qui donnent une grande luminosité aux œuvres, racontant des souvenirs et des souvenirs, des émotions et des histoires, des symboles et de la spiritualité. D’autres peintures racontent le Moyen-Orient, avec une peinture qui devient une sorte de réflexion silencieuse, avec des images créées par de petites touches de pinceau, qui constellent des représentations presque abstraites. Luigi Ballarin, avec son art symbolique et intemporel, témoigne de la possibilité que l’union de cultures et traditions différentes puisse se fondre dans une poésie de paix. Actuellement, Luigi Ballarin vit et travaille entre Venise et Istanbul en créant une union entre différentes cultures avec un langage unique et original, grâce à sa capacité de tisser ensemble des traditions artistiques différentes, mettant en lumière les points de contact et de communication. Ses dernières expositions personnelles ont été à Venise, à l’académie d’Egypte à Rome, à la Galerie Nationale et au musée Gazi Husrev-Begova Hanikah à Sarajevo, à la cloche des morts et au Mart de Rovereto, au Musée Santa Maria della Scala à Sienne, au Bahreïn, au Nigeria et en Roumanie.
Was born in Venice and grew up impregnated with Venetian culture until his first travels. Venice is a city that has had many contacts with the Near and Far East, and its birth in this territory may explain the habit of mentally feeding on oriental decorations and models. Cultural exchange is the soul of its homeland, Venice, which over the centuries has welcomed languages, customs, stories and works of art from different worlds. The art of Luigi Ballarin is a union between East and West and synthesizes in iconic images the suggestions of the minor arts, which traveled along the paths of trade and travelers, and fused the different traditions: the decorations of the majolica, the enamel of goldsmiths, the embroidery of precious fabrics. His figures follow the two-dimensional rhythms of Byzantine painting and are decorated with an original technique, marked by relief material covers, which evoke mosaics, enamels, ceramics decorations, carpets. The color and acrylic enamel are enriched by metallic effects that give a great brightness to the works, narrating memories and memories, emotions and stories, symbols and spirituality.
Other paintings tell the Middle East, with a painting that becomes a kind of silent reflection, with images created by small brush touches, which dot almost abstract depictions. Luigi Ballarin, with his symbolic and timeless art, testifies to the possibility that the union of different cultures and traditions can merge into a poetry of peace. Currently Luigi Ballarin lives and works between Venice and Istanbul creating a union between different cultures with a unique and original language, thanks to his ability to weave together different artistic traditions, highlighting points of contact and communication. His last solo exhibitions were in Venice, at the Accademia d’Egitto in Rome, at the National Gallery and at the Gazi Husrev-Begova Hanikah museum in Sarajevo, at the Bell of the Fallen and at the Mart in Rovereto, at the Santa Maria della Scala Museum in Siena, Bahrain, Nigeria and Romania.
EXHIBITION WORK
« Horse strategy perfect geometry », 160 x 160, acrilyc painting, 2024
ARTIST
NEBOJSA BEZANIC
Artiste Franco-Serbe né à Cacak (Serbie), Nebojša Bežanic courrait les galeries et les musées dès son plus jeune âge avec son père. Nebojša signifie en slave qui n’a pas peur ; et c’est bien un artiste qui n’a peur de rien et qui assume ses idées politiques et humaines. Intemporel, l’art foisonnant et méticuleux de Nebojša Bežanic n’est pas sans évoquer certaines œuvres de Jérôme Bosch par son écriture minutieuse et la multiplicité des thèmes et des personnages dans une même composition. En une technique mixte et un dessin précis, parfois proche de la miniature, Nebojša évoque l’homme, s on destin, ses découv ertes, ses épopées, le paradis perdu et les événements qui ont jalonné les siècles et qui se bousculent. Un art qui interroge, fascine et suscite une réflexion sur le monde, sur l’humanité. Dans cet univers peuplé de symboles, le moindre détail d’anatomie, de monuments, d’objets et d’animaux parfois indéchiffrables, minuscules, est peint avec une rare précision et nécessite une attention particulière pour en découvrir tout le suc. Les scènes infernales et délirantes s’entrechoquent pour évoquer avec grande lucidité et non sans un humour aigu et un rire grinçant les pires turpitudes de nos contemporains.
insta: nbezanic
A Franco-Serbian artist born in Cacak (Serbia), Nebojša Bežanic ran around galleries and museums from an early age with his father. Nebojša is Slavic for «unafraid», and it is indeed an artist who is afraid of nothing and who assumes his political and social beliefs that the Orbis pictus gallery has chosen to exhibit at the start of 2022, a year in which politics and the media have taken center stage. Nebojša Bežanic’s rich, meticulous, timeless art is reminiscent of certain works by Jérôme Bosch, with its meticulous writing and the multiplicity of themes and characters in a single composition. Using mixed media and detailed drawing, sometimes verging on the miniature, Nebojša evokes mankind, his destiny, his discoveries, his epics, paradise lost and the tumultuous events that have marked the centuries. This is art that questions, fascinates, and incites reflection on the world and humanity. In this world populated by symbols, the tiniest details of anatomy, monuments, objects, and animals – sometimes indecipherable, minute – are painted with rare precision, and require close examination to uncover all that they contain. The diabolical and delirious scenes collide to evoke the worst turpitudes of our contemporaries, with great lucidity and not without an acute sense of humour and dark laughter.
Instagram @nbezani
EXHIBITION WORK
“Distribution du budget”, 2021, Encre, aquarelle et acrylique sur papier marouflé sur toile 50 X 65 cm
ARTIST
ALEX BURDEN
Depuis qu’il a obtenu son diplôme du Maidstone College of Art et de l’Université de Middlesex, Alex Burden a dirigé sa propre galerie de sculptures en céramique sur la rue Southbank de Londres avant de déménager au Portugal, où il a passé les 25 dernières années où elle a travaillé, enseigné et exposé.Un artiste multimédia; la photographie, la céramique et la 3D font partie de ses techniques préférées.Voyager est une passion d’inspiration, son utilisation du journal est comme une fenêtre sur le monde à travers ses yeux, une façon d’observer plus profondément que de simplement voir. Récemment, son voyage en Afrique de l’Ouest a été une révélation. Il est un artiste invité sélectionné pour la 60ème Exposition Internationale d’Art au Pavillon du Cameroun.
Since graduating from Maidstone College of Art and Middlesex University, Alex Burden has run her own Ceramic Sculpture Gallery on the before Southbank London before moving to Portugal ,where he has spent the last 25 years she has been working, teaching and exhibiting. A multimedia artist; photography, ceramics and 3D are some of her preferred techniques.Travelling is a passion of inspiration, her use of journaling is like a window to the world through her eyes, a way of observing more profoundly than just seeing. Recently, her trip to West Africa has been a revelation. He is a guest artist selected for the 60th International Art Exhibition in Cameroon Pavilion
alexi_pt@yahoo.com
Instagram @alexiburden
EXHIBITION WORK
“Beneath The Surface” Clay sawdust fired, metal oil drum Base, 19 X 15 cm, 2024
“A Fleeting Moment “ 53 x 23 x 15 cm Clay ,Sawdust fired, 2024
ARTIST
ALEX CAMINITI
Alex Caminiti parmi les représentants les plus importants de l’art contemporain au niv eau internationa l. Cam initi regarde les besoins de l’homme à trav ers des peintures, des sculptures, des performances et des vidéos pour se redécouvrir dans son u nicité et sa complex ité, accueilla nt non seulement les joies et les enthousiasmes, mais aussi les douleurs et les inquiétudes, embrassant chaque aspect de soi pour ressentir pleinement son authenticité dans le souffle infini de cette harmonie des contraires qui appartient à chaque forme de vie présente dans l’univers. La force du signe et les images qui en découlent, à partir d’une idée caractérisant l’art d’Alex Caminiti en particulier par rapport à la peinture et à la sculpture, deviennent une expression visuelle avec laquelle définir ses sentiments par rapport à ce qui se passe autour d’un espace. réalité humaine et sociale emprisonnée dans des règles et des principes trop rigides, loin de ce lien originel où l’homme était en harmonie avec lui-même et avec la nature. Dans une dimension où le temps semble suspendu, ses signes et ses étendues de couleurs, mais aussi les coupures et entailles sur la matière restituent une vision dynamique et ironique de l’existence où l’homme pourrait retrouver une nouvelle façon de s’observer et de tout ce qui nous entoure, y compris l’environnement. et la nature, apportant un souffle de confiance en cette période de changement et de possibilités.
Alex Caminiti among the most significant exponents of contemporary art at an international level. Caminiti looks at man’s needs through paintings, sculptures, performances and videos to rediscover oneself in its uniqueness and complexity, welcoming not only joys and enthusiasms, but also pains and worries, embracing every aspect of oneself to fully feel one’s authenticity in the infinite breath of that harmony of opposites that belongs to every form of life present in the universe. The strength of the sign and the images that take shape from it starting from an idea in characterizing Alex Caminiti’s art in particular in relation to painting and sculpture , become a visual expression with which to define one’s feelings with respect to what is happening around within a human and social reality imprisoned in too rigid rules and principles far from that original bond where man was in harmony with himself and nature. Within a dimension where time seems suspended, its signs and spreads of colour, but also the cuts and gashes on the material restore a dynamic and ironic vision of existence where man could recover a new way of observing himself and everything around us, including the environment and nature, bringing a breath of confidence in this time of change and possibility
alexcaminiti77@gmail.com
EXHIBITION WORK
”Traiettorie Orbitanti” 6 panels 65 cm x 160 cm 2023/24 Enamel industrial paint on canvas.
ARTIST
CARLO CONDARELLI
(Katanga Sound)
Katanga Sound is a name that summarizes my origins in Catania, Sicily and my boundless passion for Africa. Katanga Sound deals with sounds, loops and frequencies. He dedicates his work to everything that is not visible. The spectrum of the audible is of immediate use and gives art an extra flavor by inventing soundscapes. Katanga produces music on a broad spectrum and in the recent past has collaborated in the exhibition field with Rosa Mundi in its exhibition in Palermo at Palazzo Branciforti. For the Dakar-off he will compose sound fabrics around some works of the Italian pavilion, in collaboration with Rosa Mundi, Alice Valenti, and other artists as in a jam session. Katanga among others has collaborated with Armando Pogliese, the Teatro Stabile of Catania. Ipercussonici, Ilenia Romano, Alfio Antico, Junjii Ikegata, Santo Pappalardo, MUtoid Waste Company and many others.
Katanga Sound est un nom qui résume mes origines à Catane, en Sicile et ma passion sans limite pour l’Afrique. Katanga Sound traite des sons, des boucles et des fréquences. Il consacre son travail à tout ce qui n’est pas visible. Le spectre de l’audible est d’une utilité immédiate et donne à l’art une saveur supplémentaire en inventant des paysages sonores. Katanga produit de la musique sur un large spectre et a récemment collaboré dans le domaine des expositions avec Rosa Mundi lors de son exposition à Palerme au Palazzo Branciforti. Pour le Dakar-off il compose des toiles sonores autour de quelques œuvres du pavillon italien, en collaboration avec Rosa Mundi, Alice Valenti, et d’autres artistes comme dans une jam session. Katanga a entre autres collaboré avec Armando Pogliese, du Teatro Stabile de Catane. Ipercussonici, Ilenia Romano, Alfio Antico, Junjii Ikegata, Santo Pappalardo, MUtoid Waste Company et bien d’autres.
condarellicarlo@gmail.com
EXHIBITION WORK
“Katanga drum”, iron, goatskin and color, 60 x 60 cm, 2024
ARTIST
TONY D’AMICO
Au cours des trois dernières décennies, Tony D’Amico DNTT a produit et exposé activement des sculptures à grande et petite échelle (à partir de ferraille, de matériaux récupérés et trouvés) partout dans le monde. En commun avec le Cirque Archaos et DNTT (dont il était un membre principal) et Block 9, trois des collectifs créatifs avec lesquels il a travaillé durant cette période, ainsi que sur des projets d’envergure avec The Mutoid Waste Company, Artcore International Blok9 et lutte antiparasitaire. Basé entre Brixton Londres et le nord du Portugal, il dirige un atelier/studio sur les deux sites. Ses sculptures tentent de créer une nouvelle esthétique à partir des détritus de la société moderne en utilisant des techniques industrielles de bas niv eau. L’env ironnement et l’égalité sont des éléments primordia ux pour l’éthique de son trav ail et agissent comme une inspiration constante pour le contexte de sa pratique. Les deux œuvres partagent un fil conducteur : l’Ange de l’Afrique, dépeint comme un jeune esprit de défi, symbolise son fier héritage ancien pour notre planète. En revanche. Zeitgeist représente le paradoxe de l’humanité dans notre monde moderne en ruine. La violence et la haine semblent être considérées comme une vertu, l’amour et la compassion comme une faiblesse. Il a exposé à la 60ème Exposition Internationale d’Art de la Biennale de Venise en tant qu’artiste invité au Pavillon du Cameroun 2024 « Nemo Propheta in patria».
Over the past three decades, Tony D’Amico DNTT has been actively producing and displaying large-and small-scalesculptures (from scrap metals, salvaged and found materials) around the world. In common with Cirque Archaos and DNTT (of which he was a core member) and Block 9, three of the creative collectives he has worked with during this period, as well as collaborating on large-scale projects with The Mutoid Waste Company, Artcore International Block 9 and Pest Control. Based between Brixton London and Northern Portugal, he runs a workshop/studio in both locations. His sculptures attempt to create a new aesthetic from thedetritus of modern society using low-level industrial techniques. The environment and equality are paramount elements to the ethics of his work and act as a constant inspiration to the context of his practice. Both works share a common thread: The Angel of Africa, portrayed as a youthful spirit of defiance symbolises her proud ancient legacy toour planet. In contrast. Zeitgeist represents the paradox of humanity in our unravelling modern world. Violence and hatred seem to be seen as a virtue, love and compassion as aweakness. He exhibited at the 60th International Art Exhibition of the Venice Biennale as an invited artist in the Cameroon Pavilion 2024 “Nemo Propheta in patria”.
madtoyicon@aol.com
Website:tonydamicodntt.com
EXHIBITION WORK
A Leap of Faith (Un Act de Foi) 74 x 26 x26 cm Recycled metals and glass
The Roots of Life , 60 x 20 x 20 cm, Metal and glass.
ARTIST
ERNEST DÜKÜ
Né à Bouaké (Côte d’Ivoire) en 1958. Ernest Dükü apprend dès son plus jeune âge le langage des symboles et conte à l’encre et en images l’histoire coutumière d’une Afrique symbolique, d’Abidjan à Paris, dans une ferme volonté d’œcuménisme. L’ouverture au monde est omniprésente dans son travail. De la recherche plastique et esthétique aux codes et messages à déchiffrer, tout nous renvoie aux regards croisés qu’il aime convoquer. Son travail livre aussi une dimension sociopolitique. Il s’enracine en effet, pour celui qui prend le temps de le scruter, dans un débat très actuel qui questionne les syncrétismes religieux pour les transcender. Un art qui s’inscrit dans l’au-delà des querelles de clocher pour jouer le jeu de la vie, où chacun de nous est amené à s’interroger sur les non-dits qui encombrent nos mémoires. Depuis que le monde existe, le monde humain est empreint de symboles; et pourtant on dit que l’Afrique n’a pas d’histoire, parce que rien n’a été écrit. L’histoire africaine existe bel et bien gravée dans des symboles. C’est pourquoi j’utilise des chiffres et des symboles dans une volonté de retranscrire l’altérité de notre histoire. Dans sa dernière série d’œuvres, Boson, Ernest Dükü s’interroge sur la perception que nous avons du visible observable, identifiable et de l’invisible qui est par-delà ce que nos sens perçoivent et pourtant auquel nous accédons si on accepte d’entrer dans le monde de l’esprit et des esprits.
Born in Bouaké (Côte d’Ivoire) in 1958, Ernest Dükü learned the language of symbols at an early age. He uses ink and images with an ecumenical intention, recounting the traditional stories of a symbolic Africa, from Abidjan to Paris with an omnipresence of openness to the world. From the formal and aesthetic research to the codes and messages waiting to be deciphered, everything refers us to the intersecting views that he likes to summon. Dükü’s work also has a socio-political dimension. It is indeed rooted, for those who take the time to examine it, in a very current debate that questions religious syncretism to transcend it. An art that goes beyond parochial quarrels to play the game of life, where each of us comes to question the unspoken things that burden our memories. For as long as the world has existed, the human world has been imbued with symbols; yet it is said that Africa has no history, because none of it has been written. African history exists in symbols. This is why I use numbers and symbols in a desire to transcribe the otherness of our history. In his lates series, Boson, he works on the perception we have of the visible that can be observed and identified, and of the invisible that is beyond what our senses perceive, yet which we can access if we agree to enter the world of the spirit, or spirits.
ernest.dookoo@gmail.com http://www.ernest-duku.com
EXHIBITION WORK
“FA Lux, 256 the source”, 2022 Encre et acrylique sur papier Canson noir 28,3 x 21 cm
“Awalé shuffle, Take Four équation 5”, 2022 Encre et acrylique sur papier Canson noir 21×28,3 cm
“Chaos de la multitude Code F.B.L.K.L Boson en perdition”, 2022 Encre et acrylique sur papier
Canson noir 21x 28,3 cm
ARTIST
RESI GIRARDELLO
Diplômée en Peinture et Sculpture ; Master en Arts Visuels et du Spectacle, Académie des Beaux-Arts, Venise. Prix ART / Cairo Communication, Section Sculpture, Académies des Beaux-Arts, Milan, Palazzo della Permanente, 2004. Elle vit et travaille entre Venise et Londres. Elle enseigne à l’École d’Art et a enseigné à l’Académie des Beaux-Arts de Venise. Son parcours sur la sculpture et l’installation depuis 2003 se concentre sur des méditations qui touchent transversalement la science (en particulier sur les questions liées au changement climatique), la mythologie et la société. En 2011, elle est créatrice et commissaire de Cracked Culture, événement collatéral de la 54e Exposition internationale d’art de la Biennale d’art de Venise. En 2013, elle est commissaire de Voice of the Unseen, événement collatéral de la 55e exposition internationale d’art de la Biennale d’art de Venise. 2024 GLOBAL S-WARMING en parallèle de la 60e Biennale de Venise, commissariat de Chiara Pellizzari, Galerie Bottega Cini, Venise 2023 Lo scrigno di Marco, commissariat de G. Vallese, The Human safety net, Procuratie Vecchie, Piazza San Marco, Venise, 2022 SUBMERGED VENICE, en parallèle de la 59e Biennale de Venise, commissariat de Gloria Vallese, Galerie Bottega Cini, Venise 2021 CRYPTO SY(g)NS, commissariat d’Alida Martinello, Galerie Bottega Cini, Venise Migrations climatiques de punaises de verre, dans le cadre de la Venice Glass Week, commissariat de A. Schiavon, Galerie Schiavon, Murano, Venise ; 2018 BIFORE TRIFORE DORIFORE, commissaire Chiara Squarcina, Musée du Palais Mocenigo, Maison Musée Carlo Goldoni, Musée de la Dentelle, Venise, Promoteur : MUVE, Fondazione Musei Civici di Venezia., 2015 Dieu sauve la Reine, commissaire Veronica Voltolina, Galerie Spazio V, Venise, 2014 Casanova, commissaire Caroline Murat, Palais Grimani Marcello Giustinian, Venise ; 2013 Il Dragone Viene in Pace, dans le cadre de Voice of the Unseen – Événement collatéral de la 54e exposition internationale d’art de la Biennale de Venise Arte, organisé par Wang Lin, Performance/Flashmob, San Marco, Arsenale Novissimo, Venise ; 2011 Matria, organisée par Gloria Vallese, Bugno Art Gallery, Venise ; 2009 Dote (Dot), organisé par F. Dalla Bernardina et M. Di Donato, Galerie Hybrida Contemporanea, Rome ; 2008 Nuvola Fresca, organisée par F. Dalla Bernardina, avec le soutien de nCameUa di Commercio| de Mantoue et l’Ambassade d’Italie à Bellarus, chez la Belle, à Minsk.Graduated in Painting and Sculpture; Master Degree in Visual and Performing Arts, Academy of Fine Arts, Venice. Prize ART / Cairo Communication, Section Sculpture, Academies of Fine Arts, Milan, Palazzo della Permanente, 2004.
She lives and works between Venice and London. She teaches at the Art School and she taught at the Venice Academy of Fine Arts. Her path on sculpture and installation since 2003 is focuses on meditations that touch transversally science (especially on the issues related to climate change), mythology and society. In 2011 is the creator and commissioner of Cracked Culture, Collateral Event of the 54th International Art Exhibition of Venice Biennale Arte. In 2013 is commissioner of Voice of the Unseen, Collateral Event of the 55th International Art Exhibition Venice Biennale Arte. 2024 GLOBAL S-WARMING iparalleling of the 60 Venice Biennale, curated by Chiara Pellizzari, Bottega Cini Gallery, Venezia 2023 Lo scrigno di Marco, curated by G. Vallese, The Human safety net, Procuratie Vecchie, Piazza San Marco, Venice, 2022 SUBMERGED VENICE, paralleling of the 59. Venice Biennale, curated by Gloria Vallese, Bottega Cini Gallery, Venice 2021 CRYPTO SY(g)NS, curated by Alida Martinello, Bottega Cini Gallery, Venice Climatic glass bugs migrations, part of the Venice Glass Week, curated by A. Schiavon,Schiavon Gallery, Murano, Venice; 2018 BIFORE TRIFORE DORIFORE, curated by Chiara Squarcina, Mocenigo Palace Museum, Carlo Goldoni House Museum, Lace Museum, Venice, Promoter: MUVE, Fondazione Musei Civici di Venezia., 2015 God save the Queen, curated by Veronica Voltolina, Spazio V Gallery, Venice, 2014 Casanova, curated by Caroline Murat, Grimani Marcello Giustinian Palace, Venice; 2013 Il Dragone Viene in Pace, part of Voice of the Unseen – Collateral Event of the 54th International Art Exhibition Venice Biennale Arte, curated by Wang Lin, Performance/Flash- mob, San Marco, Arsenale Novissimo, Venice; 2011 Matria, curated by Gloria Vallese, Bugno Art Gallery, Venice; 2009 Dote (Dowry), curated by F. Dalla Bernardina and M. Di Donato, Hybrida Contemporanea Gallery, Rome; 2008 Nuvola Fresca, curated by F. Dalla Bernardina, with the support of nCameUa di Commercio| of Mantova and the Italian Embassy in Bellarus, at the home of Beauty, Minsk.
EXHIBITION WORK
“P-untrici”, 300 x 200 cm, tissu et fils de fer – fabric and wire, 2022
ARTIST
UEMON IKEDA
Son parcours artistique débute dans les années 70 à Tokyo auprès de Maître Takeshi Yoshino, assistant d’un célèbre sculpteur qui créa la statue de Yukio Mishima.Le Maestro lui a conseillé que s’il voulait devenir artiste, il devait partir à l’étranger, à New York ou à Rome. Ikeda choisit l’Italie et s’installe à Rome à l’âge de vingt et un ans, diplômé de l’Académie des Beaux-Arts en 1977 avec Venanzo Crocetti.Le lien fort avec la culture d’origine demeure, constamment métabolisé et retravaillé par la fusion avec la culture occidentale, pour caractériser son processus expressif. Ses choix expressifs se concentrent sur des aspects résolument conceptuels, se déclinant dans des codes linguistiques différenciés qui oscillent de la peinture à l’architecture, du dessin à la photographie, de l’installation au « théâtre impossible » jusqu’à l’écriture. Il a été exposé dans de nombreux lieux emblématiques de la Piazza Farnese à la Piazza Trilussa (festa de Noantri 2012), du jardin de la Villa Borghese (Journée européenne de la culture juive), sur la place du Capitole (Jour de la Terre 2014), jusqu’à la place MAXXI ( Journée Contemporaine), depuis le jardin suspendu du Palais Royal de Naples et à l’occasion de la Semaine du Japon à Venise sur l’île de San Servolo, siège de l’Université Internationale de Venise.Ikeda est présent dans d’importantes expositions internationales d’art contemporain : 1991 à l’exposition collective « Simultanéité – Nouvelles orientations de l’art contemporain japonais » au Palazzo Braschi à Rome ; en 2017, il participe à la 102ème édition de l’exposition NIKA au Centre National des Arts de Tokyo, l’une des trois expositions d’art les plus importantes au Japon et présente la monographie : “UEMON IKEDA” avec De Luca Editori d’Arte. En 2023, il participe à la huitième édition de la RAW Rome Art Week organisée par Massimo Scaringella.
His artistic journey began in the 70s in Tokyo with Master Takeshi Yoshino, assistant to a famous sculptor who created the statue of Yukio Mishima.The Maestro advised him that if he wanted to be an artist he had to go abroad or to New York or Rome. Ikeda chose Italy and moved to Rome at the age of twenty-one, graduating from the Academy of Fine Arts in 1977 with Venanzo Crocetti.He remains, to characterize his expressive process, the strong bond with the culture of origin constantly metabolized and reworked by the fusion with Western culture. His expressive choices focus on decidedly conceptual aspects, declining in differentiated linguistic codes that oscillate from painting to architecture, from drawing to photography, from installation to “impossible theatre” up to writing. It has been exhibited in many iconic places from Piazza Farnese to Piazza Trilussa (festa de Noantri 2012), from the garden of Villa Borghese (European Day of Jewish Culture), in the Campidoglio square (Earth Day 2014), to the MAXXI square (Contemporary Day), from the hanging garden of the Royal Palace in Naples and on the occasion of Japan Week in Venice on the Island of San Serv olo, home of the Venice International University.Ikeda is present in significant international exhibitions of contemporary art: 1991 at the collective exhibition “Simultaneity – New Directions of Japanese Contemporary Art” at Palazzo Braschi in Rome; in 2017 he participated in the 102nd edition of the NIKA Exhibition at the National Arts Center in Tokyo, one of the three most important art exhibitions in Japan and presented the monograph: “UEMON IKEDA” with De Luca Editori d’Arte. In 2023 he participates in the eighth edition of the RAW Rome Art Week curated by Massimo Scaringella.
https://uemonikeda.blogspot.com uemonikeda@gmail.com
EXHIBITION WORK
« Contro/corrente » , 200 x 120 cm , Gouache on Japanese papier , 2024
ARTIST
IDRISSA MEBENGUE GUEYE
Idrissa Mbengue Gueye est né à Dakar en 1979, formé comme artisan du bois, il a développé son langage sculptural en s’inspirant des formes naturelles.
Ses développements formels, élégants et précis, sont chargés et alternent avec une fraîcheur expressive, des gestes de travail laissés sur la matière, qui rendent globalement sa sculpture ponctuée d’intensité expressionniste.
Assistant de l’artiste Rosa Mundi, commissariat de la Fondazione Donà dalle Rose ; Parc Archéologique de Segesta “Texere” exposition de Silvia Scaringella ; Festival d’éco-art organisé par la municipalité de Calatafimi-Segesta.
Idrissa Mbengue Gueye was born in Dakar in 1979, trained as a wood craftsman and developed her sculptural language inspired by natural forms.
His formal developments, elegant and precise, are charged and alternate with expressive freshness, working gestures left on the material, which overall make his sculpture punctuated by expressionist intensity.
Assistant to the artist Rosa Mundi, curated by Fondazione Donà dalle Rose; Parco Archeologico di Segesta “Texere” mostra di Silvia Scaringella ; Eco-art festival organized by the municipality of Calatafimi-Segesta.
EXHIBITION WORK
“Pélican”, 80 x 100 x 60 cm, wood – bois, 2024
ARTIST
ROSA MUNDI
Rosa Mundi est un pseudonyme d’artiste: photographe, peintre, sculpteur, chorégraphe et performeur. RM a étudié à l’académie de Venise et à Strasbourg et à l’Ecole Martenot de Paris Il enquête sur les civilisations passées et présentes, transposant des événements réels de la vie quotidienne et des sentiments humains dans l’art, créant des scénarios et des performances ad hoc, puis les réinterprétant, donnant vie à son Théâtre du Monde personnel. Rosa Mundi a développé sa technique en trempant le pinceau dans des pigments naturels végétaux et organiques mélangés à de l’huile d’olive, des œufs et de l’extrait de méduse. Il a toujours privilégié l’utilisation de matériaux recyclés, dans le but de lui donner une nouvelle vie, en effectuant une sorte de métamorphose. Les œuvres se caractérisent par une étude sur la lumière et les reflets. Il est présent dans d’importantes collections permanentes publiques et privées dans le monde. Il a participé à la Biennale d’art de Venise en 2017 et 2022, à la Biennale d’architecture 2016, en 2024 à la Biennale International de Durazzo en Albanie, à la Biennale Pixelake d’Helsinki 2016, à la Biennale de Chypre en 2023 dont il a remporté le Awards, à la Biennale du Caire Cairotronic en 2016 et 2018, à la Biennale de vente de 2017, la Biennale de Trieste 2018. Elle a créé la BIAS, biennale internationale d’art depuis le 2009 :www.bias.institute. Actuellement une œuvre monumentale a été place dans le temple de Venus dans le parc archéologique du Colosseum à Rome. Depuis 20 ans ses œuvres sont exposés comme art publique dans de parc archéologiques en Italie, notamment en Sicile, en Toscane, en Sardaigne, en Umbria et dans exposition publique nationaux italiennes et européenne et dans le cadre des importants Fondations comme Fondazione Sicilian, Fondazione Orestiadi, International Aty Yoga Fondation, ADSI Foundation, Art Week Milano, Artissima Torino 2022, Aldo Cichero Foundation, Binnekant Foundation.
Rosa Mund i is an artist pseudony m: photographer, painter, sculptor, choreographer and performer. RM studied at the Academy of Venice and Strasbourg and at the Ecole Martenot in Paris. He investigates past and present civilizations, transposing real events from daily life and human feelings into art, creating ad hoc scenarios and performances, then reinterpreting them, bringing to life his personal Theater of the World. Rosa Mundi developed her technique by dipping the brush in natural plant and organic pigments mixed with olive oil, eggs and jellyfish extract. He has always favored the use of recycled materials, with the aim of giving it new life, by carrying out a sort of metamorphosis. The works are characterized by a study of lig ht and reflections . I t is present in imp ortant public and priv ate permanent collections around the world. He participated in the Venice Art Biennale in 2017 and 2022, the Architecture Biennale 2016, the Helsinki Pixelake Biennale 2016, the Cyprus Biennale in 2023 for which he won the Awards, at the Biennale of Cairo Cairotronic in 2016 and 2018, at the 2017 Sales Biennale, the Trieste Biennale 2018. She created the BIAS, international art biennial: www.bias.institute. Currently a monumental work has been placed in the Temple of Venus in the Colosseum archaeological park in Rome. For 20 years his works have been exhibited as public art in archaeological parks in Italy, notably in Sicily, Tuscany, Sardinia, Umbria and in Italian and European national public exhibitions and within the framework of important Foundations such as Fondazione Sicilian, Fondazione Orestiadi , International Aty Yoga Foundation, ADSI Foundation, Art Week Milano, Artissima Torino 2022, Aldo Cichero Foundation, Binnekant Foundation. www.rosamundivisualart.com
rosamundivisualartist@gmail.com
rosa@rosamundivisualart.com
EXIBITION WORK
“Sphère Armillaire Masque Noir chez Picasso“, 40 x 40,bois, carnet moleskine, corde, épingles à cheveux, 2024
“Loi écrite et à être écrit“, 100 x 80 x 10 cm paper from Moleskine and wood, glass, 2024
“Soif de lire“, 8 x 23 x 10, Paper, 2024
“Jugement Universelle“, série sphère armillaire, 146 x 200 cm, fer, verre, plastique, tempera végétale naturelle et pigments méduses d’organisation marine, 2022
“Le masque de guerre”, 40 x 80 x 15 cm, bois, verre et plastique recyclé, tempera végétale naturelle et pigments méduses, 2023
“Résurrection”, 40 x 80 x 15 cm, bois, verre et plastique recyclé, tempera végétale naturelle et pigments méduses, 2023
“Méduse du 24ème siècle après JC“, Pneu, tissu, verre et plastique recyclés, détrempe naturelle végétale et marine biologique, 2023
“Cave à bouteilles de soif de savoir”, 180x 110 x 30 cm, verre, fer et peinture, 2024
“Dernière Diner”, 13 photos 30 x 18 cm , 2024
ARTIST
N’DORAH
Camerounaise d’origine et dans de multiples vecteurs vétéran de la scène créative parisienne, diplômée de l’Université Paris XIII où elle a étudié la Communication Visuelle et les Sciences du Langage. Elle a ensuite obtenu une maîtrise en design. Photographe accompagnée, consultante en identité visuelle et coiffeuse de studio, elle a travaillé dans tous les domaines, tant dans l’industrie muséale que dans la mode et l’opéra. Elle a eu une carrière d’artiste de 30 ans. Tous ces éléments contribuent à sa pratique artistique actuelle. N’Dorah fabrique des objets grandeur nature mimétiques avec éloquence à partir de cheveux humains et artificiels. Ils peuv ent être animaux ou abstraits, surnaturels, anthropom orphes ou trompeusement décoratifs, se déployant dans des coulées sombres et noueuses qui déploient les techniques afro traditionnelles de tresse et de trame. Provocantes et irréductibles, ses pièces semblent traverser les espèces et les genres, s’évanouissant en trois dimensions sur place. Les incarnations de la sculpture, de l’installation et du dessin remettent en question l’univers ordonné des hypothèses du spectateur – toujours dans les cheveux, denses ou lâches, centripètes, bouclés ou linéaires. Sommes-nous roi de la beauté ou de l’épanchement primitif ? Au niveau de la texture ou du rendu ? On voit un crâne rituel, un fauteuil hirsute, une tenture aux allures de primate – si l’on choisit de voir chaque pièce dans le domaine de la figuration. Mais ils pourraient aussi être, et ils le sont toujours, des symboles denses dénotant bien d’autres choses, des processus, des temps et des rituels complexes. Le processus de tressage, le temps du processus, le temps de la nature et de la pousse des cheveux, le rituel des objets magiques, les fétiches.
Cameroonian of origin and in multiple vectors a veteran of the Parisian creative scene, graduated from Paris XIII Univ ersity where she studied Visual Communication and Language Sciences. She subsequently got a master’s degree in design. An accom plished photographer, visual identity consultant and studio hairstylist, she has worked across the spectrum in the museum industry as well as in fa shion and opera. She has had a 30 year career as an artist. All of these elements contribute to her art practice today N’Dorah crafts eloquently mimetic full-size objects out of human and artificial hair. They could be animal or abstract, supernatural, anthropomorphic or deceptively decorative, unfurling in dark, knotty out pourings that deploy traditional Afro techniques of braid and weft. Defiant and irreducible, her pieces seem to cross species and genres, evanes cing three- dimens ionally in place. I ncarnations of sculpture, installation, a nd drawing challenge the viewer’s ordered universe of assumptions – always in hair, dense or loose, centripetal, curlicued or linear. Are we loo king at beauty or primeval effusion? At the texture or the depiction? We view a ritual skull, a hirsute armchair, a primate-like hanging – if we choose to see each piece in the realm of figuration. But they also could be, indeed always are, dense symbols denoting much else, intricate pro cess and time and ritual. The process of braiding, the time in the process, the time of nature and of growing hair, the ritual of magic objects, fetishes.
dorah.nnd@gmail.com
EXHIBITION WORK
Welcome to the jungle (de lasérie Target), 2021 Cheveux et fibres synthétiques tissés et tressés main, techniques mixtes 70 x 50 cm
Freedom (de la série Target), 2023 Cheveux synthétiques tressés et tissés main, crochet, fil métal doré, techniques mixtes 70 x 50 cm.
ARTIST
HANNU PALOSUO
Palosuo a étudié l’Histoire de l’Art à l’Université « La Sapienza » de Rome (1991-93) puis est diplômé en Peinture à l’Académie des Beaux-Arts de Rome en 1997. Nombreuses expériences de travail artistique en Europe, ainsi que dans des pays comme le Brésil, l’Argentine, l’Uruguay, l’Estonie, la Jordanie, la Chine et le Japon. Il a participé à la Biennale de Venise en 2009, 2011, 2013 et 2022, à la Biennale du Caire en 2010 et à la Biennale de Curitiba en 2017 et 2019. Parmi les expositions dans les espaces publics et institutionnels, les personnelles 2022 Didrichsen Art Museum, Helsinki, Finlande ; MAB – Musée d’Art de Blumenau, Brésil 2018 ; Musée national de Finlande 2016, Galerie nationale d’art moderne de Rome au siège du Musée Andersen 2013, Reial Cercle Artistique de Barcelone, Espagne 2013 et Herbergenmuseum, München, Allemagne 2006.
«La mémoire a toujours joué un rôle fondamental dans mon travail artistique, également parce qu’elle est régie par le conflit entre la vie et la mort, c’est-à-dire par l’idée de la fin de la condition humaine. Ce dont on se souvient, ce dont on ne se souvient pas, comment on se souvient, pourquoi on se souvient, pourquoi on ne se souvient pas et surtout comment la mémoire influence la vie quotidienne. Je pense que c’est précisément cette lutte perpétuelle qui anime mon travail ».
Palosuo studied Art History at the “La Sapienza” University of Rome (1991-93) then graduated in Painting at the Academy of Fine Arts in Rome in 1997.
Extensive artistic work experiences in Europe, as well as in countries such as Brazil, Argentina, Uruguay, Estonia, Jordan, China and Japan. He participated in the Venice Biennale in 2009, 2011, 2013 and 2022, the Cairo Biennale in 2010 and the Curitiba Bienna le in 201 7 and 201 9. Among the ex hibitions in public and institutional spaces, the personal 2022 Didrichsen Art Museum, Helsinki, Finland; MAB – Blumenau Art Museum, Brazil 2018; National Museum of Finland 2016, National Gallery of Modern Art in Rome at the headquarters of the Andersen Museum 2013, Reial Cercle Artistique de Barcelona, Spa in 201 3 and Herbergenmuseum, München, Germany 2006.
“Memory has always played a fundamental role in my artistic work, also because it is governed by the conflict between life and death, that is, by the idea of the end of the human condition. What we remember, what we don’t remember, how we remember, why we remember, why we don’t remember and above all how memory influences daily life. I think it is precisely this perpetual struggle that drives my work.”
hannupalosuo@hotmail.com
EXHIBITION WORK
N.5 Cannot turn back the clock, 210 x 80, oil on caravans, 2019
ARTIST
NELLO PETRUZZI
Il est né à Castellammare di Stabia (Na) en 1981. Son âme vagabonde, le désir de connaître de nouveaux lieux, personnes, coutumes, l’ont amené dès son plus jeune âge à franchir de nouvelles frontières, incorporant, dans ces voyages, toute la richesse de nuances subtiles, qui diversifient les civilisations de notre planète. Ainsi est né son regard circulaire, cette vision artistique qui se reflète dans la polyvalence de la culture de la Renaissance. Il cultive ses intérêts en suivant le cours de réalisation de films à la nouvelle Université du Cinéma et de la Télévision de Rome et en suivant le cours de scénographie à l’Académie des Beaux-Arts de Naples, où il obtient les meilleures notes. Une fusion entre l’art et le cinéma dans laquelle, comme une éponge, sont absorbées ses passions, ses aspirations, ses joies, ses douleurs, ses pensées indicibles, révélant dans certains cas des choses sur lui-même, à travers l’histoire de quelqu’un d’autre. Cette contamination continue et progressive des langages figuratifs a commencé à la fin du « siècle court », en 1999. Il fait ses débuts en tant qu’acteur dans « The Fallen » réalisé par Ari Taub, et passe la même année à la réalisation. un court métrage : “Mon histoire dans le quartier”. L’année suivante, il participe avec une petite apparition au “Gang of New York” de Martin Scorsese, et la même année il signe le court métrage “Anxey”. Jusqu’en 2007, c’était une succession de courts et longs métrages ; assistant et assistant réalisateur et, du moins pour l’instant, a fait sa dernière apparition en tant qu’acteur en 2004, dans « Rome » d’Alan Tayler. Acteur et assistant dans le film « Piano 17 » de Manetti Bros.
He was born in Castellammare di Stabia (Na) in 1981. His wandering soul, the desire to know new places, people, customs, led him from a young age to cross new frontiers, incorporating, in these journeys, all the wealth of subtle nuances, which diversify the civilizations of our planet. Thus was born his circular gaze, that artistic vision that is reflected in the versatility of Renaissance culture. He cultivated his interests by following the film directing course at the new University of Cinema and Television in Rome and by following the scenography course at the Academy of Fine Arts in Naples, where he obtained the highest grades. A fusion between art and cinema in which, like a sponge, his passions, his aspirations, his joys, his pains, his unspeakable thoughts are absorbed, revealing in some cases things about himself, through someone else’s story. This continuous and progressive contamination of figurative languages began at the end of the “short century”, in 1999. He made his debut as an actor in “The Fallen” directed by Ari Taub, and the same year moved on to directing a short film: “My Story in the Neighborhood”. The following year, he participated with a small appearance in Martin Scorsese’s “Gang of New York”, and the same year he signed the short film “Anxey”. Until 2007, it was a succession of short and feature films; assistant and assistant director and, at least for the moment, made his last appearance as an actor in 2004, in “Rome” by Alan Tayler. Actor and assistant in the film “Piano 17” by Manetti Bros.
www.nellopetrucci.com
EXHIBITION WORK
“Punch”, 110 X 80, Print fine art paper, 2024
ARTIST
SILVIA SCARINGELLA
Born in Rome in 1986, Silvia Scaringella graduated in sculpture at the Academy of Fine Arts in Carrara and trained in numerous technical and artistic ateliers. In 2014 she moved and studied at Iwate University, Japan. She participates in national a nd internationa l stone sy mposiums, p lac ing three public works in Palombara Sabina (RM), Morioka (JP) and Seravezza (LU). Main exhibitions: Ichinoseki Cultural Institute and Iwate University, Japan; collateral Manifesta 12, Palermo; Cassa di Risparmio Foundation, Carrara; Plastic Arts Center, Carrara; Shapes in the greenery San Quirico d’Orcia, Siena, Riso Museum of Contemporary Art, Palemo.She lives between Rome and Carrara, where he has his studio. His sculpture starts from anthropological and sociological interests, from the search for correspondences in collective and individual behaviors of the animal and human world, which in his works become multitudes of related beings, revealed holistic systems, indicators of dynamism and entropy of the contemporary era, symbolism of existential correlation. In 2019 she won the “Leonardo e il Volo” competition, creating a permanent sculpture for the Rome Fiumicino Airports. In 2020 she won the “Loveyes” competition by creating a sculpture for the city of Tsingtao in China. In 2021 she placed a sculpture at the Ministry of Foreign Affairs Club in Rome and won the tender for the creation of a monumental work for the Fiumara d’Arte Foundation in Sicily. For this exposition, for the work “Aire de jeux” she collaborated with Idrissa ndiguel, Senegal artist.
Née à Rome en 1986, Silvia Scaringella est diplômée en sculpture à l’Académie des Beaux- Arts de Carrare et formée dans de nombreux ateliers techniques et artistiques. En 2014, elle a déménagé et étudié à l’Université d’Iwate, au Japon. Elle participe à des symposiums nationaux et internationaux sur la pierre, réalisant trois œuvres publiques à Palombara Sabina (RM), Morioka (JP) et Seravezza (LU). Principales expositions : Institut culturel Ichinoseki et Université d’Iwate, Japon ; collatéral Manifesta 12, Palerme ; Fondation Cassa di Risparmio, Carrare ; Centre des Arts Plastiques, Carrare ; Formes dans la verdure San Quirico d’Orcia, Sienne, Musée d’Art Contemporain Riso, Palemo. Elle vit entre Rome et Carrare, où il a son atelier. Sa sculpture part d’intérêts anthropolog iques et sociolog iques, de la recherche de correspondances dans les comportements collectifs et individuels du monde animal et humain, qui dans ses œuvres deviennent des multitudes d’êtres liés, révèlent des systèmes holistiques, indicateurs du dynamisme et de l’entropie de l’époque contemporaine, symbolisme de la corrélation existentielle. En 2019, elle a remporté le concours « Leonardo e il Volo », créant une sculpture permanente pour les aéroports de Rome Fiumicino. En 2020 elle remporte le concours « Loveyes » en créant une sculpture pour la ville de Tsingtao en Chine. En 2021, elle place une sculpture au Club du ministère des Affaires étrangères à Rome et remporte l’appel d’offres pour la création d’une œuvre monumentale pour la Fondation Fiumara d’Arte en Sicile.
www.silviascaringella.com
silviascari@gmail.com
EXHIBITION WORK
Baobab, 40 x 20 cm tissu et papier design broderie, 2023
Vache/Nak, 120 x 60 cm tissu et papier design broderie, 2023
Bissap/Hibiscus, 20 x 20 cmtissu et papier designbroderie, 2023
Motos et chevaux, 35 x 20 cmtissu et papier designbroderie, 2023
Aire de jeux, Installation sculpture chaussures en bois, marbre, balançoire, 2024
ARTIST
ALICE VALENTI
Née à Catane en 1975, diplômée en Conservation du Patrimoine Culturel à Pise, elle apprend l’art de la peinture dans l’atelier du Maître Domenico di Mauro, spécialisé dans l’art populaire. La pratique quotidienne en atelier se transforme en une dimension poétique, enrichissant ses œuvres d’un profond héritage émotionnel. Depuis 2016, elle se consacre au projet Spiranza, rendant hommage aux bateaux en bois et au chantier naval Rodolico à Acitrezza. En 2022, elle est invitée à Melbourne pour un projet de restauration d’une charrette sicilienne, aujourd’hui exposée au CO.AS.IT. En 2023, au Bénin, elle collabore avec l’artiste Riikka Vainio sur un projet identitaire auprès d’enfants orphelins et d’élèves du primaire.L’artiste trouve la beauté dans les expériences quotidiennes, depuis les objets du quotidien comme un sac au vent ou une tôle rouillée jusqu’au paysage industriel. Cette esthétique reflète les changements environnementaux et culturels et les processus d’adaptation.« L’enfant brillant » est le reflet de l’expérience d’Alice Valenti en Afrique de l’Ouest, un parcours de peinture et d’art au service de l’enfance. Il met en scène un enfant du futur parmi les traditions, des eaux de Mamiwata au Bénin jusqu’aux pirogues de Ngor au Sénégal, regardant une Afrique renaître. « L’enfant noir » de Laye Camara devient l’enfant brillant, illuminant les rêves et les traditions africaines.
Born in Catania in 1975, graduated in Conservation of Cultural Heritage in Pisa, she learned the art of painting at the workshop of Master Domenico di Mauro, specializing in folk art. The daily practice in the workshop transforms into a poetic dimension, enriching her works with a deep emotional heritage. Since 2016, she has been dedicated to the Speranza project, paying tribute to wooden boats and the Rodolico Shipyard in Acitrezza. In 2022, she was invited to Melbourne for a restoration project on a Sicilian cart, now exhibited at CO.AS.IT. In 2023, in Benin, she collaborated with artist Riikka Vainio on an identity project with orphaned children and elementary school students. The artist finds beauty in everyday experiences, from everyday objects like a bag in the wind or a rusted sheet metal, to the industrial landscape. This aesthetic reflects on environmental and cultural changes and adaptation processes. “L’enfant brillant” is the reflection of Alice Valenti’s experience in West Africa, a journey of painting and art serving childhood. It depicts a child of the future among traditions, from the waters of Mamiwata in Benin to the pirogues of Ngor in Senegal, looking at a reborn Africa. Laye Camara’s “L’Enfant noir” becomes the bright child, illuminating dreams and African traditions.
alicevalenti@gmail.com
https://www.alicevalenti.com
EXHIBITION WORK
Photos de Pirogue travaillé par Mme Alice Valenti qui est dans l’ile de Ngor,
acrylic on wood, 2024, 400 x 120 cm
ARTIST
VASSILIS VASSILIADES
Vassilis Vassiliadis est un artiste chypriote dont le travail repose sur trois piliers : l’absence du temps, comme ingrédient fondamental de l’art; la mémoire, comme exigence de toute introspection artistique; l’absurde comme catalyseur de tout processus artistique et alchimique.
Il ne s’intéresse pas aux nouveaux matériaux mais aux nouvelles relations qui se développent entre eux. Le caractère statique de son art, qui apparaît souvent sous la forme d’un équilibre délicat, est toujours le résultat d’un équilibre interne des forces qui résident au cœur de chaque œuvre. Il cherche à ce que ses œuvres ne soient ni imposantes ni dérangeantes mais soient visibles uniquement par ceux qui les observent. Et cela, en relation avec le caractère intemporel de ses créations, confère à ses œuvres une perspective quasi quantique.
Vassilis Vassiliadis is a Cypriot artist whose work is based on three pillars. On the absence of time as a basic ingredient of art, on memory as a requirement for any artistic introspection and on the absurd as a catalyst in any artistic, alchemical process. He is not interested in new materials but in the new relationships that develop between them. The static nature of his art, which often appears in the form of a delicate equilibrium, is always the result of an internal balancing of forces that reside at the core of each work. He seeks for his works to neither impose nor disturb but to be visible only to those who observe them. And this, in relation to the timeless nature of his creations, gives his works an almost quantum perspective.
www.vassiliadesvas.com
Instagram @vassilis_vassiliades
vassiliadesvassilis@gmail.com
EXHIBITION WORK
Piccola istallazione divergente, wood and jeans, 40 x15 x 15 cm, 2024
ARTISTS
Association Colombins Ouakam, Dakar
Doudou NDIAYE Professeur Responsable Artist
Mfochive OUMAROU Professeur Artist
Cyrille MAGLOIR JOSEPH Artist
Omar MFOCHIVE
Assane Cyril MOUSSA DAOUDA
Ousmane HADIME
Mami BINTOU OUMY
Mouhamed Abdou SAMBA
Mouhamed CHEKH
Tiam YOUSSOU
Adama Mamy LO
Responsable Association Colombins Ouakam
DakarAssociation colombin poterie et existe depuis 2002 fondée part Ibrahim ndiaye et sont récépissé et sur le journal officiel du Sénégal 🇸🇳
Association colombin il récupère des enfants sourds et muets autistes, pourlui apprendre un metier et gagner leurs vies. On forme les enfants sur plusieurs domaine de l’art, depuis le 2002 jusqu’à 2010, Ibrahim NDIAYE à formée la première génération comme Babacar Euzeun Amadou Mareme Abdou Ahmed Aboubacari et Doudou ils sont tous leurs atelier et an 2010 jusqu’à 2024 Doudou prendre le relevé et collaborer avec Omar MFOCHIVE pour continuer de former la deuxième génération qui ce présente actuellement comme Assane Cyril MOUSSA DAOUDA Ousmane HADIME Mami BINTOU OUMY Mouhamed Abdou SAMBA Mouhamed CHEKH Tiam YOUSSOU Adama Mamy LO ils sont tous sur notre responsabilité et la majeure partie ce dès enfants abandonnés qu’il vie d’en nôtre association et nous sommes engagé pour qu’il gagne leur vie et autonomie.
https://www.instagram.com/poteriedakar/
https://www.facebook.com/associationcolombin/?locale=fr_FR
ARTIST
NALLA THIOYE (I’NA)
Nalla Thioye, en art I’NA, est un artiste qui est né et a grandi à Ngor. Fasciné dès son jeune âge par les découvertes, il quitte l’école académique pour celle de la vie. Artiste autodidacte, sa passion pour l’art est née d’une symbiose entre les différentes étapes de sa vie et les couleurs vivantes qui l’animent depuis toujours. « La passion guide ma conception artistique. Ma culture est ma source d’inspiration. Chacune de mes créations a son propre champ spectrale émotionnel et psychosociale. Celles-ci abordent parfois des thèmes engagés tels que la surexploitation des mers, l’érosion côtière, le patrimoine intellectuel sur la protection de l’enfant ou encore l’impact du tourisme sur le patrimoine culturel. Mon environnement direct est un patchwork sur lequel je m’appuie pour créer. » C’est un peintre, performer, photographe et vidéaste sénégalais. Il a été assistant de Rosa Mundi qui l’a formé dans le studio des pigments et de la peinture à l’huile participe activement au Parcours 2023. Collabore activement avec l’association Contre Courrant et il est maitre dans l’atelier artistiques pour les enfants sur l’île de Ngor. Pour cette exposition il a collaborer avec Cynthia Broux, artiste et voyageuse.
Wersek is an artist who was born and raised in Ngor. Fascinated from a young age by discoveries, he left academic school for that of life. A self-taught artist, his passion for art was born from a symbiosis between the different stages of his life and the living colors that have always animated him. “Passion guides my artistic conception. My culture is my source of inspiration. Each of my creations has its own emot ional and psychosocial spectral field. These sometimes address serious themes such as the overexploitation of the seas, coastal erosion, intellectual heritage on child protection or the impact of tourism on cultural heritage. My direct environment is a patchwork on which I rely to create. » He is a Senegalese painter, performer, photographer and videographer. Rosa Mundi’s assistant status with whom he is trained in the pigment and oil painting studio actively participates in the 2023 Course. Actively collaborates with the association Against Current and includes a workshop for children on the island of Ngor. For this exposition he collaborated with Cynthia Broux, artist and traveller.
Instagram @wersek_Ina
EXHIBITION WORK
LES MERS, 100x93cm Acrylique sur toile ensablée.
Dessins sur Papier , technique miste 22 x 30